L’ancrage corporel

J’accueille des enfants en « difficulté » tant au niveau physique, psychique, qu’émotionnel avec ou sans diagnostique précis dès le plus jeune âge pour l’accompagner à dépasser ses difficultés en lui donnant un ancrage. S’ancrer pour sentir et ressentir son corps et l’amener à prendre conscience de soi et des autres.

Un ancrage corporel : mettre l’enfant dans son corps par le mouvement, le massage, le jeu.

Le mouvement met ou remet l’enfant dans la vie et dans la joie. L’enfant peut donc devenir auteur de sa vie et prendre conscience et confiance en ses compétences.

Ce travail, ou plutôt ce moment de vie, se fait dans le plus grand respect de son être et de ses émotions. Accueillir toutes ses réactions avec un regard confiant,  bienveillant et positif.

Ma pratique s’adresse

Aux enfants de 0 à 3 ans présentant :

  • un développement neuro-moteur non harmonieux
  • un retard psychomoteur global
  • un dysfonctionnement psychologique (dépression, anorexie, trouble du comportement…)
  • un comportement autistique

Soit des difficultés d’origine neurologique ou psychoaffective ne leur permettant pas d’investir leur corps et donc de se construire une « image du corps » positive, moteur de leur développement.

Aux enfants de 3 à 6 ans présentant :

  • des troubles somatognosiques et psychomoteurs
  • des dyspraxies associées ou non à un problème de langage
  • des troubles du comportement
  • une personnalité de type timide agressif
  • des troubles prépsychotiques

Entraînant des difficultés relationnelles en famille et/ou dans leur milieu scolaire ainsi qu’un blocage de leur développement personnel.

Aux enfants de 6 à 9 ans présentant :

  • des troubles de l’orientation spatio-temporelle
  • des difficultés perceptives et d’organisation dans le domaine visuo-spatial
  • un retard scolaire associé à des difficultés praxognosiques
  • une hyper-activité et/ou des troubles attentionnels avec méconnaissance et non-habitation de leur corps
  • un état dépressif avec une apathie et désintérêt tant vis-à-vis des activités corporelles que relationnelles et cognitives.